Nous avons voulu souligner l’incompétence de l’État français qui laisse en liberté des individus comme Oumar malgré 5 condamnations et 17 mentions. Nous avons donc voulu adresser un message simple à tous les Français : puisque l’État ne garantit pas ta sécurité, tu dois te préparer à le faire, ne serait-ce que mentalement.
Au cœur du quartier d’Oumar où, selon plusieurs témoignages, il terrorisait quotidiennement des riverains démunis, ce message prend évidemment tout son sens.
Selon nous, l’autodéfense est d’abord une prise de conscience individuelle : celle que l’État ne nous défend pas et qu’il nous appartient donc de nous organiser. Et donc, cela passe par la nécessité de bien s’entourer : le premier critère qui rend vulnérable, c’est d’être seul. Trouver un groupe soudé, c’est déjà un premier pas vers l’autonomie.
Mais l’autodéfense passe aussi par des mesures politiques ; par exemple, il est nécessaire de sanctuariser nos foyers. Chaque citoyen devrait avoir le droit de défendre son domicile contre quiconque s’en prend à celui-ci. Plus encore, une refonte totale de notre juridiction concernant la légitime défense est à entreprendre. Pourquoi ne pas s’inspirer du système suisse, un des pays les plus sûrs du monde, qui prend en compte l’état de stress des victimes et permet une marge d’action plus large ?
Les activités d'Argos sont à la fois communautaires (randonnées, sport, événements culturels) et politiques (manifestations symboliques). Quel sens ont-elles pour vous ?
Pour nous, la victoire politique va requérir de former des individus de qualité. C’est-à-dire ni des Européens soumis et dégénérés par la drogue et la culpabilité, ni des marginaux instables tels qu’on a pu en connaître dans l’histoire de notre famille politique.
Notre parti pris assumé, c’est de tirer nos membres vers le haut, vers l’affirmation et l’énergie dans l’action. D’où notre attachement au sacré et à la lutte spirituelle ; nous croyons qu’il sera nécessaire de procéder à une révolution intérieure avant de pouvoir mettre en place le changement politique. Il revient ensuite à chacun de nos militants de forger ses propres armes spirituelles pour mener cette révolution.
On a pu nous reprocher de résumer notre action à la randonnée, notamment sur Twitter, mais posez-vous une question : le jour où les choses vont mal tourner, vous préférez être accompagné par quelqu’un qui peut marcher une journée complète sans fatiguer ou par quelqu’un qui collectionne des bouquins qu’il ne comprend pas ?
« Notre objectif ? Forger une communauté de jeunes Européens désireux de reprendre leur destin et celui de leur civilisation en main. » (manifeste)
Vous souhaitez « revenir aux fondamentaux » et aider la jeunesse nationaliste à se développer personnellement pour devenir « ambassadeurs de la reconstruction de la patrie ». Reprendre les bases est-il pour vous la conséquence logique d'un aveu d'échec des idées nationalistes dans la France actuelle ?
Si la majorité de la population française partage de plus en plus nos constats, il faut bien reconnaître une chose : nos idées ne sont pas au pouvoir. Sans tomber dans le pessimisme, on en vient malgré tout à se demander au bout de combien de Bataclan les Français accepteront de franchir le Rubicon et de voter pour sauver leur civilisation.
Le problème n’est pas seulement électoral : le problème pour la jeunesse de droite actuelle, c’est qu’elle n’a que 2 options pour s’engager : le feu de paille ou le ronronnement. Le feu de paille, ce sont tous les mouvements qui se créent, font beaucoup de bruit avant de disparaître aussitôt. Et le ronronnement, c’est l’excès inverse : une routine ennuyeuse et inefficace.
Avec Argos, nous voulons éviter cet écueil en proposant de repartir sur des bases saines. C’est pourquoi nous avons voulu tout reprendre depuis le début afin de former une jeunesse alternative et engagée. Car les organisations de jeunesse sont comme un pays : sa première richesse, ce sont les gens qui la composent.
Votre première action médiatisée a été la fermeture symbolique d'une salle de shoot. Quelle importance la lutte contre la drogue a-t-elle pour vous ?
La lutte contre la drogue est fondamentale. Il n’y a aucune tolérance pour la came chez nous. Un snif et c’est dehors !
La drogue est un instrument de soumission : c’est une addiction destructrice qui se trouve aux antipodes des valeurs que nous souhaitons transmettre ; sans compter les liens évidents entre les problématiques liées au trafic de drogue et à l’insécurité.
Comment vous rejoindre ? Et que diriez-vous à un Français qui hésiterait à vous rejoindre ?
N’importe quel soutien d’Argos peut adhérer par le site internet. Il pourra ensuite entrer en contact avec les adhérents de sa région et concrétiser son engagement dans le réel.
Nous lui dirions qu’il n’a plus à rester seul et qu’il lui appartient, à lui aussi, d’intégrer la jeunesse alternative pour mener les combats de demain.
« Passage de témoin » : quel groupe, personnalité ou initiative souhaitez-vous voir interviewé sur Une Bonne Droite ?
Je pense qu’il serait intéressant d’inviter des militants activistes de droite dans les médias de notre mouvance. On ne leur donne que rarement la parole, alors qu’ils prennent des risques pour nos idées.
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2 commentaires
Malheureusement ce groupe est noyauté par des juifs, rien que le porte-parole benjamin en est un. Probablement défendu par Goldnadel etc… A peine ouverts, qu’ils demandent du fric aux jeunes blancs, bref… de l’arnaque classique judéenne
Bravo la resistance doit grandir et doit agir utilement cad en s attaquant à la tête (micron)